Sophie Jovillard commence ces Echappées Belles en Bourgogne avec le carnaval du Tape Chaudron. C'est parti pour la découverte de cette belle région.
aperçoit la Rochelle, l'île de Ré… Des endroits qu'il découvrira au cours de ses Echappées Belles en Charente-MaritimeJérôme Pitorin survole le littoral et apprend à piloter auprès de l'instructeur Christian Plaisance. Il
Spécialiste de fromages, station de ski et montagne enneigée, les Suisses ont tout pour plaire ! Sur un traîneau tiré par des husky, nos yeux s'attardent sur ses lacs romantiques entourés de roches majestueuses. C'est dans ces mêmes roches que l'on trouve le célèbre sel suisse, inattendu et plein de goût, le pays du chocolat cache encore beaucoup de surprises.
Nouvelle émission présentée par Gavin's Clemente Ruiz. Notre invité : Sandra Bérénice Michel, photographe animalière
La station tyrolienne d'Ischgl compte parmi les destinations d'hiver les plus courues d'Europe. Allemands, Belges, Russes, Hollandais, Tchèques, Polonais ou Roumains s'y bousculent pour skier... mais aussi pour faire la fête. Au total, la station autrichienne a dépensé 400 millions d'euros depuis 1989 dans ses seules installations mécaniques et réinvestit chaque année ses bénéfices dans du matériel neuf. Résultat : pas un téléski n'a plus de dix ans et elle figure aujourd'hui parmi les domaines skiables les plus dynamiques des Alpes. Mais Ischgl est aussi considérée comme la Mecque du divertissement alpin. Dans le cadre de la série « Sur les Alpes perchées », Sandy Héribert a rencontré Christian, qui lui a fait visiter ce splendide domaine et son snowpark qui est un des plus longs d'Europe. Ischgl étant la référence mondiale en matière d'après-ski festif, la snowboardeuse franco-britannique a fait la tournée des hauts lieux de la nuit avec Andréas. Elle a rendu visite au plus grand chef autrichien Martin Sieberer avec lequel elle a préparé un des agneaux les plus tendres du monde, l'agneau de Paznaun avec une pointe de safran autrichien et du fromage spécialement affiné pour lui. Elle a fait une pause nature avec une ballade en raquettes. Puis s'est rendu à l'événement qui a contribué à la réputation du spot, les célèbres concerts de fermeture qui accueillent à la fin du mois d'avril plus de 20 000 personnes à plus de 2000 mètres d'altitude, des shows hors norme avec les plus grands stars du rock.
La route que le réalisateur Vincent Leduc nous invite à découvrir chemine à travers la culture et le mode de vie des peuples de Thaïlande, du Nord au Sud, par les montagnes des minorités, la frontière birmane, le pays Isan, Bangkok et les îles de la frontière Malaise, en quête des secrets du sourire thaïlandais.Ce voyage nous fait découvrir les multiples déclinaisons de ce sourire mythique qui s'exprime à tous les moments de la vie quotidienne, dans le travail, les loisirs, la danse, la chanson, les croyances et les pratiques…Cette joie de vivre est d'abord celle d'un pays à la nature exubérante, depuis les montagnes du Nord jusqu'aux plages du Sud, où se conjuguent richesse ethnique et générosité de la vie.
Terre de safari, la Tanzanie accueille de nombreuses réserves naturelles où gazelles, éléphants et lions s'épanouissent. Un pays également multiethnique: de la célèbre ethnie des massaïs, à la communauté indienne, la Tanzanie cultive de nombreux dialectes. Au bord de l'océan indien, les habitants cultivent le café et partent à la pêche aux algues pour en faire des cosmétiques maison.
A Cotonou, rien ne se perd, rien ne se crée, et tout se transforme. Dans le quartier des forgerons, au cœur du marché Dantokpa, dans le supermarché du recyclage, le doyen des forgerons fabriquent des jouets pour ses petits enfants avec des pièces détachées de voitures. Rien n'est jeté, tout est recyclé, au royaume de la débrouille, le système D est roi !C'est comme ça que Cotonou est devenue le royaume de la débrouille … Rouler, manger, s'amuser, il y a toujours un moyen de trouver une solution. Il y a 3 ans, Boris a dû arrêter ses études pour subvenir aux besoins de sa famille. Il a donc décidé de faire le difficile métier de kékéno (conducteur de bicyclette), et Cotonou regorge de Zem (diminutif de « Zemindjan » ou « emmène moi vite »). Il enfile sa chemise jaune officielle et parcourt les rues de Cotonou au volant de sa mobylette, comme ses 8 000 collègues kékénoD'une manière générale c'est la solidarité qui prévaut ici et un des aspects les plus marquants, c'est la tontine, un système d'épargne qui fonctionne selon le principe de la solidarité et de la confiance : il s'agit d'une caisse commune à laquelle pour avoir accès au crédit, les amis, voisins et connaissances cotisent. Ouvrir un commerce ou un atelier est alors possible et une économie parallèle aux banques s'est créée dans les rues de Cotonou.
A Ouaga, la capitale du Burkina Faso le nombre de deux roues et surtout les motos augmente considérablement. Ils sont utilisés surtout dans les endroits où les taxis et les transports en commun ne peuvent accéder, faute de route praticable. Il se vend plus de cent mille nouvelles motos par an, le secteur est en pleine croissance. Les deux roues les plus utilisées sont les chinoises, moins chères et consommant moins. Le commerce inhérent à ses engins lui aussi est en plein essor, les ateliers de réparation se multiplient à toute vitesse
Dans chaque numéro, les histoires se mêlent, les personnages se croisent, et les couleurs se déploient en arc-en-ciel… Les diables rouges du carnaval de la Martinique côtoient les perles noires de Tahiti, les pétards roses des chinois de la Réunion succèdent aux caïmans bruns de Guyane, le rhum blanc de Guadeloupe se marie aux masques jaunes des femmes de Mayotte et la paille grise des cases de Nouvelle-Calédonie répond aux nattes multicolore de Wallis. Des séquences de vie et des décors naturels flamboyants au service d'une histoire, le tout raconté sur un ton décalé…« Couleurs Outremers » est le magazine des sociétés d'outre-mer !
Ils sont nombreux aujourd'hui à revenir sur le lieu de leur origine. Principalement des afro-américains, mais aussi des Jamaïcains originaires d'Amérique et des Antilles. Une sorte de lieu de pèlerinage permettant de comprendre d'où ils viennent. D'autres ont même choisi de revenir vivre sur la terre de leurs ancêtres comme le couple Jah qui habite Ouidah. Ce couple de rastafara des Antilles vit maintenant au Bénin. Un retour aux sources qui vient contredire la génération du “non-retour” possible.Un autre couple de Jamaïcains a lui aussi décidé de revenir ici, un symbole fort du renouveau africain. Aujourd'hui ils sont de plus en plus nombreux à accueillir ces “nouveaux arrivants” pour faciliter la transition entre le mode de vie occidental et le mode de vie africain. Rencontre avec Nicolas, enfant de la diaspora et candidat au retour dans le pays de ses aïeuls. Nous découvrons également une école qui, en plus du programme officiel, prône le respect de l'environnement, enseigne l'histoire de la diaspora et des peuples d'Afrique.
La french riviera fut le lieu de nombreux tournages célèbres. Sur le col de Nice furent tournées des scènes mythiques. Alfred Hitchcock réalisa “La main au collet”, avec Grace Kelly et Cary Grant, sur la grande corniche. Il est vrai que le microclimat permet d'y réaliser des films en extérieur sans se préoccuper de la météo. Au cœur de Nice, on trouve aussi les studios de la Victorine, rebaptisés les studios Riviera, où François Truffaut réalisa “La nuit américaine”. Sur la Côte d'Azur, ce sont aussi les palaces qui font la renommée du lieu. L'Éden Roc, hissé sur les rochers du cap d'Antibes, a ainsi vu défiler de nombreux artistes et stars internationales comme Pablo Picasso, Clark Gable ou Cary Grant.
Le parc national des Deux-Balé s'étend sur sept cents km2 de faune et de flore. On y trouve des racines, des écorces, des plantes médicinales utilisées par les tradipraticiens. Pour éviter la destruction du parc et le braconnage, une association a été créée pour préserver le parc. Cette association compte des éleveurs, des apiculteurs, des tradipraticiens dont le but commun est de sensibiliser la population à la sauvegarde du parc. La preuve que l'Homme peut vivre en harmonie avec la faune et la flore.
Les sports extrêmes sont une autre forme de tourisme en Zambie. Beaucoup viennent ici à la recherche du frisson et d'une dose d'adrénaline. Face à ce marché fleurissant, de nombreuses compagnies se sont installées sur les rives du Zambèze pour y proposer toutes sortes d'activités comme le rafting, le speed boat, la tyrolienne ou encore du saut à l'élastique.Nous découvrons d'abord le Rafting,sur l'eau des chutes Victoria constituées de 23 rapides,là où les gorges du Zambèze sont les plus étroites et où les touristes viennent défier les eaux dangereuses. On peut parfois y rencontrer quelques crocodiles, comme c'est le cas pour Glenn, touriste canadien. Puis, direction le ciel, pour un saut à l'élastique de 111 mètres du haut des gorges du Zambèze.
Pêche, bétail, potager, commerce … Beaucoup de villages ne sont accessibles que par le Zambèze. Fleuve sauvage, le Zambèze est synonyme de vie pour tous les villages établis sur ses rives. Comme le village de Moungouni, où l'on rencontre Dominic, qui nous raconte le mode de vie des villageois et la relation particulière que les hommes entretiennent avec le fleuve. Le fleuve permet la fertilité des rives, où l'agriculture fait vivre plus de 80% des riverains. Moyen de ravitaillement, source d'eau potable, mais aussi pouvoir spirituel de l'eau, plus qu'un élément, c'est une relation intime que les riverains tissent avec le fleuve nourricier.
Le Bénin fait partie d'une série de pays d'Afrique de l'Ouest où aucune religion n'apparaît vraiment comme majoritaire, et où chacun est libre de choisir son dieu, ou même ses dieux. Les ports, les villes et les frontières, très perméables constituent depuis longtemps des zones d'échanges marchands et culturels plutôt que des cloisons économiques. Les principales religions cohabitent depuis deux siècles, sur un fonds coutumier prégnant, le « vodun ». L'islam, venu du nord, y est minoritaire, mais déjà ancien. D'abord lié, dès le XVIIIe siècle, aux axes de négoce caravanier, il est surtout associé depuis le XIXe siècle aux migrations de commerçants islamisés vers les villes de la côte. Les premières tentatives de christianisation sont contemporaines de la traite des esclaves. Puis, à la fin du XIXe siècle, une compétition active entre missions méthodistes et catholiques, avivée par la présence britannique au Nigeria, accélère les implantations chrétiennes sur le littoral.Nous allons suivre Luc Bogler, descendant d'une famille « Fifty-Fifty », qui a la particularité d'avoir des membres catholiques, des membres « vodun » et des membres musulmans tout à la fois. Ici, la tolérance prime plus que tout, et la religion est une liberté que tous les béninois partagent.
Le Burkina Faso possède une forte tradition équestre.Les premiers habitants de Niogsin sont venus du Mali à cheval au 19ème siècle, c'est pourquoi l'étalon est l'emblème du pays. C'est ici que l'on trouve les meilleurs cavaliers du pays. Faso possède un ranch. Il est cavalier et fait de la voltige. Soro apprend aux enfants à monter à cheval. Chaque dimanche a lieu la course du président, évènement incontournable au Burkina. Faso et Soro, en bons cavaliers ne manqueraient pour rien au monde cette course à laquelle ils participent systématiquement.
On suit le fil du processus de la pêche traditionnelle au Kapenta. Départ sur les barges, avec Patron Biemba. Afin d'augmenter les rendements, les pêcheurs travaillent de nuit en éclairant les filets à l'aide de spot pour attirer les poissons. Puis, retour sur les berges, où les premiers acheteurs se précipitent. Le poisson est pesé, et son prix est fixé en fonction de la quantité pêchée, avant d'être emporté par Naailah, et d'autres femmes, pour être séché. Ressource inestimable, en dehors de son aspect économique, ce fleuve et son poisson fait aussi le régal des habitants !Dans la continuité du Zambèze, sur le lac artificiel Kariba, où l'on peut admirer la forêt d'arbres fantômes, l'on trouve un impressionnant barrage et des hommes pêchant le Kapenta. Ce poisson qui a été importé en Zambie fait désormais partie de l'industrie florissante qui fait depuis plus de 20 ans le gagne pain des habitants.
Dans chaque numéro, les histoires se mêlent, les personnages se croisent, et les couleurs se déploient en arc-en-ciel… Les diables rouges du carnaval de la Martinique côtoient les perles noires de Tahiti, les pétards roses des chinois de la Réunion succèdent aux caïmans bruns de Guyane, le rhum blanc de Guadeloupe se marie aux masques jaunes des femmes de Mayotte et la paille grise des cases de Nouvelle-Calédonie répond aux nattes multicolore de Wallis. Des séquences de vie et des décors naturels flamboyants au service d'une histoire, le tout raconté sur un ton décalé…« Couleurs Outremers » est le magazine des sociétés d'outre-mer !
De grandes plaines américaines, une ambiance digne d'un western, le Wyoming promet de belles aventures. Depuis leur voitures, habitants et touristes viennent admirer les grizzlis et les ours au point de créer des embouteillages. Alors qu'une musique country grésille dans le poste radio, les éleveurs marquent le bétail pendant que d'autres cherchent des fossiles sous un soleil brûlant.