Pour découvrir la Haute Auvergne, Sophie commence son périple en empruntant le Gentiane express, un train qui lui permet d'admirer des pâturages de montagne. Puis rencontres avec Patricia Freyssac, éleveuse de vaches Salers près de Mauriac, et avec Vendetta Mathea, danseuse, plasticienne et fondatrice de La Manufacture, un « campus chorégraphique » à Aurillac.
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aperçoit la Rochelle, l'île de Ré… Des endroits qu'il découvrira au cours de ses Echappées Belles en Charente-MaritimeJérôme Pitorin survole le littoral et apprend à piloter auprès de l'instructeur Christian Plaisance. Il
Val Thorens, hautement perchée !Perchée à 2 280 mètres d'altitude, Val Thorens est la station la plus haute d'Europe.Sandy Heribert est allé à la rencontre de ceux qui incarnent l'esprit de ce village savoyard, Marie Marsaa, une jeune monitrice de ski qui lui a fait découvrir son domaine skiable géant qui fait partie des Trois vallées, puis Baptiste Bantin, l'entraîneur de l'équipe du skicross qui l' a fait pénétrer dans les coulisses de la Coupe d'Europe de ski cross, une occasion privilégiée de vivre de l'intérieur cette course de vitesse spectaculaire et technique. Elle a profité de son immersion pour s'initier à la conduite sur glace sur le célèbre circuit sur glace de la station.Curieuse de tout, elle est allé ensuite voir René et Maxime Meilleur, deux grands chefs étoilés qui n'ont pas leur pareil pour valoriser les produits de leur terroir et qui ont inventé un dessert mythique autour du lait de la vallée des Belleville. Mais comme rien n'arrête la jeune snowboardeuse franco-britannique, elle est montée à bord d'une dameuse la nuit dans la tempête, un moment unique. Une grande plongée dans les coulisses des trois Vallées, le plus grand domaine skiable du monde avec plus de 600 km de pistes.
A Roumdé, un village isolé, on trouve des marabouts. Alioune Sow est guérisseur. Lors de ses consultations, il examine les malades puis part en forêt à la recherche des plantes dont il a besoin pour guérir leurs maux. Autre environnement et même procédé. Nous rencontrons Alioune, lui travaille dans un hôpital mais tout comme le guérisseur il croit dans le pouvoir salvateur des plantes. Alioune travaille dans un hôpital traditionnel créé par Yvette Parès, une française qui soignait les lépreux avec des plantes. Cela fait trente ans que cet hôpital existe, pourtant la phytothérapie n'est reconnue que par huit pays africains sur trente et un. Les patients eux-mêmes sont réticents, ils n'y viennent qu'en dernier recours quand les médicaments et les médecins ne peuvent plus rien. Cet hôpital possède pourtant des trésors médicinaux, mais le personnel se bat pour prouver les vertus des plantes et servir, ainsi, de modèle. Avec eux, découvrons une autre forme de thérapie, donnée par le pouvoir des plantes.
La kwaito house est la nouvelle musique des townships. C'est au début des années quatre-vingt-dix que les artistes kwaito on commencé à chanter en évoquant la lutte dans les townships. Après 1994, la parole s'est libérée, les artistes pouvaient chanter partout. Max et Sello ont formé le groupe The Ruffest. Max est un ancien danseur qui a décidé de créer le groupe The Ruffest en 2004, après avoir été paralysé suite à une fusillade de gangs. Le groupe est devenu célèbre dans tout le pays. Ils travaillent maintenant sur leur deuxième album.
En Casamance, la tradition la plus populaire c'est la lutte, le sport national. Ici, dès tout petits les enfants s'entraînent à lutter. Un sport très respecté et qui demande certains sacrifices : la carrière d'un lutteur cesse au moment où il se marie. Découvrez les codes de ce sport exigeant.
À Zanzibar, les paysannes de la mer cultivent des algues depuis 1989 puisqu'avant cette date, elles ne pouvaient pas travailler. Tous les jours à marée basse, elles se rendent dans leur champs marins pour récolter les algues qui sont ensuite utilisées en pharmacologie et en cosmétique. Une ONG suédoise a d'ailleurs élaboré un savon à partir d'algues, pour le revendre ensuite aux hôtels de l'île. Aussi appréciée soit-elle, cette culture ne plaît pas à tout le monde sur l'île. Certains hôteliers voient dans ces cultures un frein et une incompatibilité avec leurs activités nautiques et économiques. Depuis plusieurs années, les paysannes des mer résistent pour faire perdurer leur culture d'algues.
Au Cameroun, sur la plage du fleuve Sanaga se développe une pêche particulière : la pêche de sable. Une pêche compliquée mais cher payée, bien plus que la pêche au poisson. Nous suivrons ces pêcheurs reconvertis en marchands de sable. Pour ramasser le sable, ils doivent d'abord attendre la marée basse, puis ramer au milieu du fleuve. Il faut alors plonger, ramasser, soulever et vider leur cargaison de sable, un dur labeur pour ces pêcheurs mais un labeur rentable.
Simon Allix part à la découverte du massif forestier des Vosges, au fil des nombreux cours d'eau qui traversent ce territoire de moyenne montagne. Au gré des rencontres, il dresse le portrait de ceux qui ont trouvé refuge dans ces forêts et qui ont exploité leurs ressources naturelles.
Ambivalence et paradoxe, c'est peut être ce qui définit le mieux la Sardaigne. De ses plages paradisiaques envahies de célébrités et de paparazzis, l'île des centenaires cache en réalité une nature authentique: il y a quasiment deux fois plus de brebis que d'habitants et le tourisme vert a su se développer entre les troupeaux.
Terre de safari, la Tanzanie accueille de nombreuses réserves naturelles où gazelles, éléphants et lions s'épanouissent. Un pays également multiethnique: de la célèbre ethnie des massaïs, à la communauté indienne, la Tanzanie cultive de nombreux dialectes. Au bord de l'océan indien, les habitants cultivent le café et partent à la pêche aux algues pour en faire des cosmétiques maison.
D'une manière générale c'est la solidarité qui prévaut ici et un des aspects les plus marquants, c'est la tontine, un système d'épargne qui fonctionne selon le principe de la solidarité et de la confiance : il s'agit d'une caisse commune à laquelle pour avoir accès au crédit, les amis, voisins et connaissances cotisent. Ouvrir un commerce ou un atelier est alors possible et une économie parallèle aux banques s'est créée dans les rues de Cotonou.C'est comme ça que Cotonou est devenue le royaume de la débrouille … Rouler, manger, s'amuser, il y a toujours un moyen de trouver une solution. Il y a 3 ans, Boris a dû arrêter ses études pour subvenir aux besoins de sa famille. Il a donc décidé de faire le difficile métier de kékéno (conducteur de bicyclette), et Cotonou regorge de Zem (diminutif de « Zemindjan » ou « emmène moi vite »). Il enfile sa chemise jaune officielle et parcourt les rues de Cotonou au volant de sa mobylette, comme ses 8 000 collègues kékénoA Cotonou, rien ne se perd, rien ne se crée, et tout se transforme. Dans le quartier des forgerons, au cœur du marché Dantokpa, dans le supermarché du recyclage, le doyen des forgerons fabriquent des jouets pour ses petits enfants avec des pièces détachées de voitures. Rien n'est jeté, tout est recyclé, au royaume de la débrouille, le système D est roi !
A Ouaga, la capitale du Burkina Faso le nombre de deux roues et surtout les motos augmente considérablement. Ils sont utilisés surtout dans les endroits où les taxis et les transports en commun ne peuvent accéder, faute de route praticable. Il se vend plus de cent mille nouvelles motos par an, le secteur est en pleine croissance. Les deux roues les plus utilisées sont les chinoises, moins chères et consommant moins. Le commerce inhérent à ses engins lui aussi est en plein essor, les ateliers de réparation se multiplient à toute vitesse
Le Burkina Faso possède une forte tradition équestre.Les premiers habitants de Niogsin sont venus du Mali à cheval au 19ème siècle, c'est pourquoi l'étalon est l'emblème du pays. C'est ici que l'on trouve les meilleurs cavaliers du pays. Faso possède un ranch. Il est cavalier et fait de la voltige. Soro apprend aux enfants à monter à cheval. Chaque dimanche a lieu la course du président, évènement incontournable au Burkina. Faso et Soro, en bons cavaliers ne manqueraient pour rien au monde cette course à laquelle ils participent systématiquement.
Ils sont nombreux aujourd'hui à revenir sur le lieu de leur origine. Principalement des afro-américains, mais aussi des Jamaïcains originaires d'Amérique et des Antilles. Une sorte de lieu de pèlerinage permettant de comprendre d'où ils viennent. D'autres ont même choisi de revenir vivre sur la terre de leurs ancêtres comme le couple Jah qui habite Ouidah. Ce couple de rastafara des Antilles vit maintenant au Bénin. Un retour aux sources qui vient contredire la génération du “non-retour” possible.Un autre couple de Jamaïcains a lui aussi décidé de revenir ici, un symbole fort du renouveau africain. Aujourd'hui ils sont de plus en plus nombreux à accueillir ces “nouveaux arrivants” pour faciliter la transition entre le mode de vie occidental et le mode de vie africain. Rencontre avec Nicolas, enfant de la diaspora et candidat au retour dans le pays de ses aïeuls. Nous découvrons également une école qui, en plus du programme officiel, prône le respect de l'environnement, enseigne l'histoire de la diaspora et des peuples d'Afrique.
La french riviera fut le lieu de nombreux tournages célèbres. Sur le col de Nice furent tournées des scènes mythiques. Alfred Hitchcock réalisa “La main au collet”, avec Grace Kelly et Cary Grant, sur la grande corniche. Il est vrai que le microclimat permet d'y réaliser des films en extérieur sans se préoccuper de la météo. Au cœur de Nice, on trouve aussi les studios de la Victorine, rebaptisés les studios Riviera, où François Truffaut réalisa “La nuit américaine”. Sur la Côte d'Azur, ce sont aussi les palaces qui font la renommée du lieu. L'Éden Roc, hissé sur les rochers du cap d'Antibes, a ainsi vu défiler de nombreux artistes et stars internationales comme Pablo Picasso, Clark Gable ou Cary Grant.
Dans la gigantesque capitale nipponne, les pousse-pousses se bousculent dans les grandes avenues bordées de maisons aux toits aménagés en potager. Tokyo n'est pas le cœur du Japon pour rien: capable de résister aux séismes, elle est la fierté du pays. Entre modernité et tradition, Tokyo propose une gastronomie mondialement reconnue dans un esprit étonnant: de l'univers enfantin kawai à l'amour inconditionnel pour les animaux en passant par le sumo.
Dans le cadre de la série « Sur les Alpes perchées », Sandy Heribert a découvert ce village authentique de 2000 habitants et son histoire en compagnie de Giselle Helle, une guide du patrimoine souriante et dynamique avant de se glisser dans les coulisses d'un des événements qui font la réputation du spot : une course de VTT qui a lieu chaque année au mois de juin et qui réunit 4500 participants de 19 nationalités différentes. Antonin Lieutaghi, ancien champion du monde de snowboard freeride et vététiste confirmé lui a expliqué pourquoi l'endroit avec son un bike park et ses 18 circuits balisés était le paradis du mountain bike.Gaspacho de menthe sauvage, sauce blanche à l'ail des ours, beurre aux fleurs, omelettes aux plantes, autant de plats naturels que préparent Greg et Astrid. Sandy a cheminé avec Astrid Marty, accompagnatrice de moyenne montagne, jusqu'à la buvette de Paccaly à 1 500 m d'altitude, au pied d'une des plus grandioses combes des Aravis où elle s'est initiée à la cuisine aux fleurs. Et pour se reposer elle a passé une nuit insolite à flanc de falaise sur un portaledge, également appelé tente de paroi. Guillaume Avrisani, guide de haute montagne depuis 15 ans lui a présenté ce système accrochable destiné aux grimpeurs qui passent plusieurs jours et nuits sur des grandes voies et ils ont préparé une délicieuse fondue suspendue au dessus de 100 mètres de vide.La Clusaz étant une des seules stations qui n'est pas dans une vallée encaissée, les vacanciers apprécient la proximité du Lac d'Annecy. Sandy s'est essayé à l'activité tendance du moment, le wakesurf avec Emmanuelle Dumolard, une ancienne championne du monde de wakeboard, qui a créé la première école du genre sur le lac en 1992 . Elle est ensuite allée à la rencontre d'une autre championne du monde, de ski de bosses cette fois-ci, Raphaëlle Monod Sjoström. L'arrière petite-nièce du célèbre naturaliste, Théodore Monod, passionnée de fleurs, fait des cosmétiques biologiques à base de millepertuis, d'arnica, de mauve et de reines de près. La Clusaz, à 27 km à l'est d'Annecy, au pied du massif des Aravis, est une des stations des ski les plus vivantes de Haute-Savoie. Elle est prisée pour son coté sportif (son club des sports est ultra dynamique hiver comme été) mais aussi sa nature et sa flore exceptionnelle.
La Plagne, la neige en partageSportive et familiale, la Plagne en Savoie fait partie de Paradiski, deuxième plus grand domaine skiable du monde.Dans le cadre de la série « Sur les Alpes perchées », Sandy Heribert a découvert cette station construite au tout début des années 60 en compagnie d'un guide de choix, Julien Régnier, un skieur freestyle réputé, ancien champion de ski de bosses. Elle s'est amusée sur le fun slope, une descente ludique composée de modules qui plait aux enfants avant de s'aventurer sur les fameuses « pistes nature » de La Plagne, des pistes non damées où elle a pu faire tout à loisir de très belles traces en poudreuse.Impossible à La Plagne de ne pas s'essayer aux joies du bobsleigh ou de la luge. La commune possédant des infrastructures uniques au monde, la jeune femme a embarqué dans un bob avec Romain Heinrich, le pousseur de l'équipe de France qui lui montré les subtilités de la célèbre descente olympique. Sensations garanties.Elle a également assisté au championnat du monde de télémark, l'ancêtre du ski moderne, une discipline très tendance et spectaculaire avec Igor Fiard, un ancien membre de l'équipe de France.Curieuse de tout, elle a appris à faire la tartiflette à l'ancienne avec Roland Loyet, le chef du Forperet, un joli chalet d'alpage, et a passé une nuit insolite dans un kota finlandais avec Régis Michelas.
Des pilotes parmi les meilleurs du continent, des médecins volontaires pour voler au secours des populations, et des centaines d'agents dans plus de 10 pays africains. Ils interviennent partout ou la médecine est absente. Ils forment les personnels de santé aux gestes qui sauvent. Ensemble, ils constituent un corps humanitaire unique, les Flying Doctors.Une organisation relève ce challenge depuis plus de cinquante ans en utilisant l'aviation.Pour les médecins, atteindre ces populations reste un défi immense.En Afrique de l'Est, beaucoup vivent encore dans des zones isolées, difficile d'accès, loin de tout service de santé.
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